Elle aime pousser sur des rochers. Fleurs blanches et fruits collés par deux. Fleur blanche et fruit noir à ne pas confondre avec Tibouchina en période hors floraison. Petites fleurs rouges et roses. Plante protégée dont le nombre de pieds sauvages est inférieur à 10 en milieu naturel. Ephrolepis abrupta Cette longue fougère est surtout connue sur les coulées récentes où elle est une des premières plantes à coloniser après le refroidissement de l'éruption et l'invasion des lichens. Elle est fréquente dans les jardins où elle colonise les bords de murs. Acanthophoenix rubra - Palmiste rouge (Arecaceae) Atteint 15 m. Fleurs blanches. A la Réunion les gramoun(es) utilisaient autrefois cette plante comme tisane pour se rafraîchir, après une bonne cuite ou pour ouvrir l’appétit. Hyophorbe indica - Palmiste poison (Arecaceae) Ses fleurs sont d'un beau jaune et ses gousses, comme ses feuilles composées, recouvertes d'une courte pilosité soyeuse. Ardisia crenata (bois de Noël) MyrsinaceaeCe petit arbuste ne dépassant pas 1,5 m de haut est souvent présent en sous-bois humide de basse ou moyenne altitude. Scolopia heterophylla (bois de prune ou bois de tisane rouge) SalicaceaeSouvent, seule la cime est touffue, donc difficile à observer. On peut assez facilement la distinguer à ses poils nombreux et assez longs de couleur brune. Ce sont également des plantes dont la mise en culture est aisée. Machaerina iridifolia (paille sabre, sabre marron) CyperaceaeEndémique des mascareignes. Casearia coriacea - Bois de cabri (Salicaceae) Fruits pulpeux à graines. La fleur est magnifique et les samares à trois ailes volent au vent pour aller coloniser le reste de l'île. Collybie - Collybiales collybies, sont un genre de champignons de la famille des tricholomatacées. On la retrouve à peu près sur tous les continents. Latania lontaroides - Latanier rouge (Arecaceae), Maillardia borbonica - Bois de maman (Moraceae) Les frondes poussent très nombreuses et drues, pouvant dépasser le mètre de hauteur. Elle pousse sur des rhizophores, sortes de petits pilotis qui les éloignent du sol tout en les nourrissant. Exposées partiellement au soleil, les plantes de mi-ombre nécessitent un ensoleillement la moitié de la journée, environ 4 à 5 heures. Photo Gilbert Moyne, Favolashia calocerajoli petit polypore qui pousse sous les branches mortes, trouvé plusieurs fois en forêt (en redescendant du Maïdo vers la piste de luge) Photo Gilbert Moyne, site du Conservatoire Botanique National et CPIE Mascarin, Les plantes exotiques envahissantes (pestes végétales), Les plantes de littoral et de basse altitude. On la trouve aussi mélangée aux sphaignes. Atteint une quinzaine de mètres en forêt de basse ou moyenne altitude. On en trouve même sur les arbres (épiphyte). Badulaborbonica (bois de savon) MyrsinaceaeFréquent dans les zones où vit Badula barthesia. Lantana camara (galabert ou corbeille d'or) VerbenaceaePlante épineuse. Grangeria borbonica - Bois de punaise (Chrysobalanaceae), Hernandia mascarenensis - Bois blanc (Hernandiaceae) Cossinia pinnata - Bois de Judas (Sapindaceae) Ses fleurs s'observent au bout de très longues hampes. Certaines prairies en sont envahies ( Notre-Dame de la Paix). Ses fleurs à longues étamines et surtout ses gousses jaunes qui bruissent au vent le rendent aisément identifiable. Ils possèdent une odeur agréable. Agauria buxifolia - Petit bois de rempart (Ericaceae) Existe en de nombreuses espèces se ressemblant fortement. Dombeya blattiolens - Mahot (Malvaceae) A permis les premières inscriptions des PAM de La Réunion à la Pharmacopée Française, en 2012. Erica reunionensis (branle vert) EricaceaeBruyère endémique très fréquente sur l'île de 500 à 3000 m. On la rencontre jusqu'au sommet du Piton des Neiges. Fruits rouges striés de blanc. Les frondes peuvent atteindre plus d'un mètre. Les fruits noirs sont difficiles à voir et rappellent les mûres de la ronce commune de métropole. Sophora denudata (petit tamarin des hauts) FabaceaePetit arbre endémique vivant en altitude aux alentours des 2000 m entre les zones arides et forêts de bois de couleurs des Hauts. solanum torvum (fausse aubergine) SolanaceaeOn la rencontre fréquemment en basse altitude mais elle est peu colonisatrice pour le moment. Mimusops balata (grand natte) SapotaceaeGrand arbre au bois dur pouvant atteindre 15 m. Ses feuilles sont simples, relativement grandes, ovales, coriaces et contenant du latex blanc. Bertiera rufa - Bois de raisin (Rubiaceae) Gaertnera vaginata (losto café) RubiaceaeArbuste commun aux forêts de basse et moyenne altitude, reconnaissable à ses feuilles lisses vert intense et ses fleurs blanches très odorantes ou ses fruits en grappes (verts puis noirs) ressemblant au café. Crocosmia x crocosmiiflora (motbretia) IridaceaeCette très belle fleur à bulbe ne fleurit que quelques jours par an mais envahit de ses longues feuilles tous les sols et toutes les altitudes. Avant de prendre les couleurs de l'image, elle est d'un vert soutenu et brillant. Elaphoglossum aubertii (Desv.) Fruits également en grappes, bleu très foncé, presque noir à maturité. Les sélaginelles portent des feuilles, petites et pointues disposées en 4 rangées. Je rentrerai en détail sur certains aspects de l’île dans d’autres articles, mais un petit tour de la flore réunionnaise ne fait pas de mal, bien au contraire ! E.mail : aplamedom@netcourrier.com. La culture artisanale de la vanille à la Réunion est totalement intégrée à l'environnement et 100% permacole. Ses hauteurs sauvages sont devenues un parc national appelé parc national de La Réunion le 5 mars 2007. Son aspect luisant permet de mieux la distinguer ainsi que la longueur toujours différente de ses pennes. Se reconnaît à ses feuilles coriaces aux nervures parallèles. Euodia segregis - Bois de catafaye (Rutaceae), Fernelia buxifolia - Bois de balai (Rubiaceae) Espèce endémique de La Réunion et l’île Maurice, elle se fait de plus en plus rare.. Hubertia ambavilla - Ambaville (Asteraceae) Le pétiole, légèrement bleuté en début de pousse lui a valu le nom vernaculaire de fougère bleue. Elle n'est pas présente dans les cirques et d'autres régions de l'île. Apodytes dimidiata (peau gris ou bois bleu) IcacinaceaeArbre indigène de moyenne et haute altitude qui pousse en forêt humide et semi-humide, et pouvant atteindre 10 m. Microscopiques fleurs blanches. Hedychium flavescens (Longose jaune vanille) ZingiberaceaeIntroduit comme plante ornemantale, on ne pourra désormais jamais plus s'en débarrasser car le moindre morceau de rizhome restant en terre donne immédiatement une plante complète. Pousse en touffes d'une dizaine de frondes d'une cinquantaine de cm. L'apiculture classe une plante comme mellifère lorsque celle-ci est exploitable par l'abeille domestique. Elle est recouverte un peu partout de fins poils courts. Albizia lebbeck (bois noir des Bas) FabaceaeHeureusement, on en trouve surtout dans les bas de l'Ouest et ne devrait pas s'attaquer aux zones humides et d'altitude. Tambourissa elliptica (bois de bombarde ou bois de tambour) MonimiaceaeArbre d'une dizaine de mètres, au tronc parfois creux pouvant abriter des essaims d’abeilles (bombardes). Zoysia matrella (gazon bord-de-mer ou herbe pique-fesses) PoaceaeRésistant bien aux embruns marins, cette graminée indigène constitue de larges plaques dignes des meilleurs terrains de golf où, sans tonte, il ne dépasse guère quelques millimètres. Fondatrice en 2015 de la start-up Torskal, Anne-Laure Morel a conçu un traitement ciblé du cancer qui fonctionne avec des nanoparticules d’or obtenues avec de l’ambaville, une plante endémique de son île natale, La Réunion.Nous l’avons rencontrée sur place pour en savoir plus sur ses recherches en nano-médecine. Sert aussi à stabiliser les terrains dans les cirques. Sideroxylon majus (Bois de fer blanc) SapotaceaeCet arbre endémique très rare a pratiquement disparu de l'île, en raison de ses qualités comme matériau de construction. La fleur est fécondée artificiellement et c'est la gousse qui est vendue après un long séchage. Son tronc semble ne pas avoir d'écorce. Stillingia lineata - Tanguin pays (Euphorbiaceae) Ochrosia borbonica - Bois jaune (Apocynaceae) Schltr., est une orchidée endémique de La Réunion qui pousse dans les forêts tropicales humides de l'île de 1000 à 1900 m d'altitude, zone constamment saturée d'humidité atmosphérique appelée : … En cas de mal d’estomac et de gastro-entérite, les vertus de l’ayapana sont archi-connues dans l’île, et depuis longtemps. Les sores sont linéaires sur les segments fertiles. Cette liste répertorie par nom scientifique les espèces végétales arbustives ou arborescentes (y compris les monocotylédones et les fougères) indigènes de La Réunion, c’est-à-dire celles qui étaient présentes naturellement dans les forêts, savanes et maquis de l'île avant la colonisation humaine. Photo Gilbert Moyne. Elle pousse en zone humide, souvent au sol, dans les parties sombres des sous-bois. Les sores sont régulièrement fixés sur la périphérie des limbes. Cet article analyse les logiques profanes qui président à la consommation de plantes médicinales à l’île de la Réunion, dans le cadre de la prise en charge du cancer. La plante ne dépasse jamais un mètre et les fleurs sont très jolies. la liste des plantes originaires de La Réunion reconnues dans la pharmacopée française depuis le 1 août: Antirhea borbonica (feuille) Pittosporum senacia (feuille) Vepris lanceolata (feuille) page sur les plantes que l'ont peut retrouvé a la Réunion 974 Dombeya delislei - Mahot (Malvaceae) Cyathea excelsa - Fanjan femelle (Cyatheaceae) Fleurs jaunes. Ses tiges sont recouvertes de longs poils blancs. Il est très rare de pouvoir observer une floraison de la plante. Antidesma madagascariense - Bois de cabri blanc (Euphorbiaceae) Les pennes sont alternes et coriaces. Eugenia mespiloides - Bois de nèfles à grandes feuilles (Myrtaceae) On la rencontre fréquemment sur les talus que forment les sentiers encaissés, les abords de grottes, anfractuosités de roches moussues et ombragées. 0692 28 48 33. Amauropelta salazica (endémique) Thelyptrida-ceaeElle aime plutôt l'altitude et il est fréquent d'en rencontrer dans les sphaignes humides. Aphloia theiformis (change écorce) AphloiaceaeTrès commun de 100 à 2000 m dans les forêts de bois de couleurs, cet arbre indigène de 10 m maximum se reconnaît avant tout à son écorce qui pèle constamment (voir photo). Les fleurs sont bleu-mauve et les fruits jaunes ou orangés à maturité. Claoxylon racemiflorum - Grand bois cassant (Euphorbiaceae) Glaziella aurantiacaCes superbes champignons reposent au sol telles des pelures d'oranges oubliées. Il atteint facilement et vite une douzaine de mètres, voire plus, et détrône rapidement les espèces en place. Terminalia bentzoë (benjoin) CombretaceaeCet arbre endémique des Mascareignes, pouvant atteindre 30 m, se rencontrait dans les forêts semi-sèches de l’île. Ant rophyum boryanum (langue de boeuf)Fougère indigène facile à reconnaître grâce à sa forme. Fleurs blanches odoriférantes. Calophyllum tacamahaca (takamaka) ClusiaceaeArbre endémique de La Réunion et de Maurice qui vit jusqu'à 1000 m. Il peut atteindre une quinzaine de mètres. Il atteint 2 mètres et vit plutôt en région sèche. Persicaria capitata (herbe corail ou boule à Boissier) PolygonaceaeTrès présente sur les talus et zones rocheuses, elle envahit toute la surface de ses tiges de 15 à 25 cm de haut. Les feuilles adultes diffèrent des juvéniles. Ses milliers de graines transportées par les oiseaux facilitent sa prolifération. Elle peut rapidement obstruer le sentier en zone humide. Elle s'enroule autour de tout ce qui pousse et l'étouffe. Blechnum tabulare (Thunb.) Les appellations vernaculaires sont celles les plus couramment entendues, mais il existe souvent localement de nombreuses variantes avec des noms qui peuvent ne pas désigner les mêmes espèces selon les endroits. Psiadia insignis - Sauge (Asteraceae) Acacia mearnsi De Wild (acacia noir) FabaceaeIntroduit fin XIXe siècle pour ses tanins servant au traitement du cuir il a plus tard été planté près des champs de géranium pour avoir du combustible à proximité. Potentilla indica (fraise de lo ou fraise-crapaud) RosaceaeComme sa cousine la fraise de nos jardins, ses stolons lui permettent de s'étendre sur des surfaces parfois importantes. Elle ressemble à une fougère arborescente. Préfère les milieux secs en bordure de ravine. Les pennes sont étroites, et les pennes inférieures se réduisent brutalement (non vu sur cette photo). Polyscias rivalsii - Bois de papaye (Araliaceae) Belles fleurs bleues ou violettes de près de 10 cm. Il produit des fleurs regroupées par grappes d'une dizaine. Pteris scabra Cette fougère des forêts humides de moyenne altitude aime particulièrement les sous-bois sombres. Voici les variétés à planter dans les zones moins ensoleillées de … Cordemoya integrifolia - Bois de perroquet (Euphorbiaceae) Plante exotique envahissante. La flore spontanée. A consommer avec modération sinon la randonnée s'arrête rapidement. Anthirea borbonica (bois d'osto) RubiaceaeIndigène, cet arbre de 10 m maximum aux feuilles allongées et pointues donne des fleurs en saison chaude et des fruits en petites grappes qui deviennent rougeâtres à maturité. Ses feuilles comportent 4 folioles d'un beau vert groupées par deux. Facile à reconnaître car ses feuilles sont grandes, pointues et dotées d'un très long pétiole rouge sombre. L'efficacité reconnue de ses tisanes pourrait bien causer sa perte. Claoxylon setosum (Euphorbiaceae) Atteint 15 à 20 m. Cryptomeria japonica (Crypto méria ) TaxodiaceaeGrand arbre résineux de 15 m introduit au siècle dernier. Celle-ci, photographiée au sol représente presque une exception. Cystoderme. Allophyl us borbonicus (bois de merle) SapindaceaeCette espèce de 8 à 10 m est endémique des Mascareignes. La Réunion présente une flore particulièrement variée, plus de 1 000 espèces de plantes se sont progressivement installées, au gré des courants marins, des cyclones et des migrations. Impossible à manquer grâce à ses feuilles (de chêne !). Elle pousse en altitude dans des endroits très humides. KuhnAssez fréquente sur les anciennes coulées jeunes ou non encore totalement colonisées par une végétation plus grande. AgaricC'est un champignon très connu (même en boîte !) La Réunion recèle un nombre important de fleurs et de plantes inconnues sous nos latitudes métropolitaines, un vrai régal pour les photographes amateurs de couleurs et de nouveautés. Les belles fleurs jaune pâle donnent rarement des fruits. Très facile à reconnaître de loin au bruissement de ses fruits. Ipomoea purpurea (L.) Roth (liseron, volubilis) ConvolvulaceaeCette liane qui pousse le long des pistes ou champs rencontrés lors des randonnées se reconnait surtout à sa fleur en calice variant du blanc au bleu en passant par des roses et violets. Rubus alceifolius (raisin marron ) RosaceaeSa feuille imitant la vigne permet de bien la reconnaître, mais ce sont surtout ses épines qui laissent de bons souvenirs. Elle se reproduit par rhizome long et souterrain. On ne passe plus en moins de deux ans. Le nom scientifique retenu est celui considéré actuellement comme valide et principal par la communauté scientifique internationale. Ses fruits, plus gros qu'une olive, donnent une colle utilisée en braconnage pour capturer les oiseaux. Hubertia tomentosa - Ambaville blanc (Asteraceae) Les feuilles dégagent une forte odeur lorsqu’elles sont froissées. Diospyros borbonica - Bois noir des hauts (Ebenaceae) Elle pousse principalement sur les troncs et hautes branches des arbres des forêts humides par des rhizomes rampants recouverts d'écailles. Psiadia laurifolia - Bois de tabac (Asteraceae) Très nombreux en forêt du Tévelave. Histiopteris incisa Cette belle fougère assez commune dans les bois de tamarins se rencontre dans les forêts humides des hauts. Milieux littoraux : sur 207 km de côtes, le littoral réunionnais est très varié : plages de sable blanc (corallien) ou noir (basaltique) sur les côtes Ouest et Sud, plages de galets hostiles à l’implantation végétale, falaises plongeant dans l’océan… Dans un environnement où le sol est maigre, l’eau (douce) rare et le vent et les embruns fréquents, seules des espèces résistantes peuvent s’y adapter. Elle atteint facilement trois mètres en région humide. Blechnum attenuatumPlus facile à photographier sur les arbres où elle s'accroche en grosses touffes dans les forêts humides. Fleurs blanches en grappes. L’Ambaville donne des petits fruits qui sèchent directement sur l’arbuste. Erythroxylon laurifolium (bois de rongue) ErythroxylaceaeArbuste de la forêt humide des bas, pouvant atteindre 7 m. On le reconnaît aisément à ses fruits qui poussent en bout de branches et ressemblent à des grappes de piments rouges. Il atteint 5 à 6 m. Adiantum hispidulum (indigène) PteridaceaeOn la trouve un peu partout sur l'île et même dans nos jardins. Il aime les zones sèches jusqu'à 500 m. Vanilla planifolia (vanille) OrchidaceaeOrchidée aromatique cultivée à La Réunion, attachée à un tuteur naturel ou artificiel. Ses frondes sont lisses et pendent jusqu'à 80 cm sous les arbres ou les rochers. Monimia amplexicaulis - Mapou des hauts (Monimiaceae) Elaphoglossum hybridum Cette petite fougère, rencontrée dans les Mascareignes, n'aime pas les courant d'air et pousse à l'abri. Photo Gilbert Moyne. Ses hauteurs sauvages sont devenues un parc national appelé parc national de La Réunion le 5 mars 2007. Aphloia theiformis - Change-écorce (Aphloiaceae) Il n'est généralement pas ramifié et ne peut se manquer lorsqu'il est en fleur car les fleurs blanches rosées s'implantent entre l'emplacement des feuilles anciennes et les nouvelles qui sont roses et presque transparentes. Calophyllum inophyllum (takamaka bord- de-mer) ClusiaceaeArbre peut être indigène, de bord de mer qui résiste bien aux embruns, atteignant parfois 15 m. Pousse en terrain sableux. Les racines de la plante sont utilisées très amères quasiment impossible à boire. Cossinia pinnata (bois de Judas) SapindaceaeCet arbre endémique de La Réunion et de Maurice peut atteindre 15 m et aime les régions sèches où il se rencontre assez souvent. Cette plante, qui peut atteindre à l’état naturel les 4 mètres de haut, est souvent taillée pour former des haies d’environs 2 mètres, afin de Reconnaissable à ses feuilles trifoliol ées. Molinaea alternifolia - Tan Georges (Sapindaceae) PAT Zerbaz, la filiale de PAT (Plant advanced technologies) à La Réunion, annonce l’utilisation de plantes réunionnaises dans des produits cosmétiques, pharmaceutiques et agrochimiques. Elle est utilisée en médecine locale mais n'est pas envahissante. Facile à repérer en raison de la forme des feuilles rigides ressemblant à des épées pointues. Schinus terebinthifolius (baie rose ou faux-poivrier) AnacardiaceaeTrès présent dans toute l'île, il est facilement reconnaissable à ses feuilles à 5 folioles et à ses grappes de graines rouges utilisées à La Réunion comme condiment. Elle peut atteindre facilement 2 mètres de hauteur. Fleurs et fruits ressemblent à nos framboisiers. Reconnaissable à son tronc rectiligne et son port majestueux. Hypericum lanceolatum (fleur jaune) HypericaceaeArbuste courant en forêt de bois de couleurs des Hauts ou en bordure des routes forestières. BARDEAU, F. (1976) – La Médecine par les Fleurs. AdiantacéesAdiantacées. Les pennes sont opposés et les frondes assez longues. Pseudophegopteris cruciata Assez grande fougère aux frondes dressées puis retombantes et aux pennes opposées ou sub opposées. Plante introduite et envahissante. Les plantes mellifères de La Réunion sont des plantes produisant de bonnes quantités de nectar et de pollen de bonne qualité et accessibles par les abeilles. La liane patte poule a des épines et est une autre espèce (Toddalia asiatica - Rutaceae). Vernonia fimbrillifera - Bois de source (Asteraceae), Weinmannia tinctoria - Tan rouge (Cunoniaceae), Xylopia richardii - Bois de banane (Annonaceae), Zanthoxylum heterophyllum - Bois de poivre (Rutaceae). Médicinale et très florifère. Psiloxylon mauritianum (bois de pêche marron) MyrtaceaeArbre des forêts humides jusqu'à 800 - 900 m. Endémique de La Réunion et de Maurice. Facile à reconnaître à ses feuilles brillantes et persistantes vert très foncé ou ses fruits à la saison qui finissent souvent dans le rhum. Les frondes peuvent facilement atteindre un mètre de longueur. Boehmeria penduliflora (bois de chapelet) UrticaceaePlante envahissante de bord de cours d'eau principalement. Polyscias scutellaria - Arbre de la Félicité (Araliaceae) Elle est plus rare en forêt humide car elle aime la lumière. (impatiente) BalsaminaceaeDifficile de les manquer sur les bord des sentiers humides et sombres. Trochetia granulata (Malvaceae), Vepris lanceolata - Patte poule (Rutaceae) On la rencontre souvent en touffes de plusieurs frondes qui peuvent atteindre un mètre de hauteur. Espèce protégée. Dracaena reflexa - Bois de chandelle (Asparagaceae) Donnent avec le bois maigre les plus belles sculptures vivantes de l'île. Impossible de ne pas le remarquer avec ses grappes de fruits rouge vif ou ses fleurs blanches. Les frondes sont disposées en couronne au sommet de son rhizome. Pousse en touffes dans des zones libres ou défrichées sans trop envahir la végétation locale. Agarista buxifolia (petit bois de rempart) EricaceaeAssez peu courant excepté sur les pentes du volcan où il se cache fréquemment entre les rochers. Les frondes très fines poussent en petites touffes et il est fréquent de rencontrer les plus jeunes colorées d'un rouge rosé agréable à l'œil. Phyllanthus casticum - Bois de demoiselle (Euphorbiaceae) Mimusops maxima - Grand natte (Sapotaceae) Eugenia bosseri - Bois de nèfles à grandes feuilles (Myrtaceae) Badula grammisticta (Myrsinaceae) Hauteur dépassant rarement les 2cm. Sphagnum LSuperbe mousse universelle-ment connue dans les tourbières du monde entier. Thespesia populneoides - Porcher (Malvaceae) La fleur change de couleur en fonction de l'âge. Les feuilles sont opposées, lancéolé es et acuminé es, et présentent au niveau de la […] Elle pousse en petite touffes pouvant atteindre 1 m. Leur aspect courbé et retombant indique leur fragilité. Le bois de Paille en queue est un petit arbuste rare que l'on retrouve sur les routes de La Réunion Petites fleurs blanches à 4 pétales, en grappes. Cassine orientalis (bois rouge) CelastraceaeArbre endémique des Mascareignes pouvant atteindre 20 m. Vit jusqu'à 1000 m. Les feuilles juvéniles sont longues, étroites et à nervure rouge. Pépinière traditionnelle alternative à la Réunion spécialisée dans la diversité de plantes endémiques, indigènes et exotiques, immense choix de tailles, sans produits chimiques de synthèse, cultivées en circuits courts et locaux, avec des terres, compostes et scories péi. Se distingue de C yathea glauca par ses jeunes crosses et rachis sans poil. Sideroxylon borbonicum - Bois de fer bâtard (Sapotaceae) Les fleurs jaunâtres, sont petites et en grappes. Agarista salicifolia (bois de rempart) EricaceaeEgalement reconnaissable à ses clochettes roses, cet arbre indigène à écorce fissurée et aux feuilles coriaces pointues, vivant dans les forêts de basse altitude. Dombeya acutangula - Mahot tantan (Malvaceae) Ces feuilles contiennent du sénevol, ce qui leur donne une saveur légèrement piquante, tout comme le radis, le raifort et le chou. C'est toujours un jeu pour les enfants que d'effleurer la feuille qui se referme en un instant (phénomène de thigmonastie). Feuilles faciles à reconnaître  : de grande taille et comportant de 5 à 9 folioles. Polyscias repanda (bois de papaye) AraliaceaeArbre endémique dont la répartition n'est pas uniforme. Hauteur 1 à 2 m. Les fleurs tombent en grappes et forment des chatons à la manière des noisetiers. Ipomoea pes-caprae (liane patate à Durand) ConvolvulaceaeLiane indigène aux belles fleurs roses qui peut atteindre des longueurs impressionnantes et qu'on rencontre très souvent le long des plages. Astelia hemichrysa - Ananas marron (Liliaceae), Badula barthesia - Bois de savon (Myrsinaceae) Claoxylon dolichostachyum (Euphorbiaceae) Mussaenda landia - Lingue en arbre (Rubiaceae), Nastus borbonicus - Calumet (Poaceae) Dodonaea viscosa - Bois d'arnette (Sapindaceae) Olea europaea subsp. C’est la plante fétiche de Claude Marodon, qui y a consacré toute une thèse. Le tronc ou stipe conserve longtemps les bases des anciennes feuilles (frondes) tombées. Difficile de ne pas la voir sur la majorité du circuit en milieu humide où elle recouvre parfois tellement le sentier qu'on a du mal à le repérer. Blechnum marginatum Cette fougère est endémique de la Réunion. Consultez nos 146813 annonces de particuliers et professionnels sur leboncoin Elle s'adapte à toutes les altitudes et à tous les milieux, ce qui la rend si invasive. En revanche il n'est pas rare d'en rencontrer quelques pieds spontanés dans certaines régions de l'île (Grand Coude par exemple ou à l'Eden). Labourdonnaisia cal ophylloides (petit natte) SapotaceaeCet arbre indigène dépasse les 20 mètres. Adiantum reniforme L. (fougère tam tam) PteridaceaeFréquente en sous-bois humides de 500 à 1300 mètres, elle est facile à reconnaître par sa forme originale pour une fougère. Les fleurs sont très odorantes et donnent des fruits en bouquet au bout des branches. Le pétiole est fin, noir et lisse et brillant. Tournefortia arborescens (Boraginaceae) Espèce commune à la Réunion en zones un peu exposées des forêts humides d'altitude moyenne à haute. Les fleurs sont jaune pâle et les fruits verts et ailés. Tambourissa crassa - Bois de bombarde à grandes feuilles (Monimiaceae) Ses courts poils et son aspect duveteux permettent de ne pas la confondre. Impatiens flaccida Arn. Hiptage benghalensis (L.) Kurz (Liane papillon) MalpighiaceaeArrivée au début du XXe siècle, cette plante très dangereuse a déjà pris possession de plusieurs remparts de la Rivière des galets ou Dos d'Ane. Ses fruits poussent en grappes jaunissent à maturité. Reconnaissable à ses belles clochettes roses. Colocasia esculenta (songe, chou de chine) AraceaeCette plante à rhizome se trouve de plus en plus le long des cours d'eau. americanae (choca bleu) – AgavaceaeImpossible de le confondre avec le choca vert qui est plus clair et tirant vers le jaune. On le rencontre principalement en zones sèches le long du littoral, mais il a colonisé une grande partie de l'île. Les feuilles sont regroupées en haut des branches. Increase knowledge on plant and animal biodiversity of Réunion Island and their interactions in support to threatened species. Les spores sont produites par des sores circulaires situées à la périphérie des segments. Améliorer les connaissances sur la biodiversité végétale et animale de la Réunion et leurs interactions pour contribuer à la conservation des espèces menacées. Généralement associé au tamarin des Hauts. Très commune en milieu humide. Euodia irifica (Rutaceae) Très petites fleurs blanches et fruit rouge orangé lorsqu'il est mûr. Elaphoglossum lepervanchei Assez commune, cette petite fougère en forme de langue pointue, se trouve de 200 à 1500 m. Elle est assez difficile à distinguer en raison de la particularité qu'elle détient de prendre plusieurs formes pour ses feuilles. Ses couleurs peuvent varier du jaune au vert en passant par des nuances de rouge. La plante et les graines sont toxiques mais aussi hallucinogènes. Ses fleurs rouges et blanches, ainsi que ses fruits poussent à même les branches. (prune malgache) FlacourtiaceaeArbuste buissonnant assez présent le long du littoral Ouest et Sud. Eugenia buxifolia ( bois de nèfles) MyrtaceaeTrès commun entre 200 et 1500 m, cet arbre endémique peut atteindre 10 m. Ses jeunes feuilles sont d'un beau vert, alors que les feuilles adultes sont épaisses et dures, sans nervure. Cette page non exhaustive sur les plantes rencontrées le long des sentiers a été relue et corrigée par Christophe Lavergne du Conservatoire Botanique National de Mascarin. Badula crassa (Myrsinaceae) Les plantes mellifères de La Réunion sont des plantes produisant de bonnes quantités de nectar et de pollen de bonne qualité et accessibles par les abeilles. Les fleurs, très odorantes, poussent en grappes assez denses. Les branches peuvent comporter quelques épines. Christella dentata (Forssk) (Christelle dentée) ThelypteridaceaeIl est presque plus facile de trouver cette fougère dans son jardin plutôt que le long des sentiers à condition qu'elle trouve l'humidité nécessaire à sa survie.

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