Cela ne signifie pas que l’abbé accusateur, qui officie aujourd’hui à Peseux (NE), ait menti, a précisé l’avocate Ludivine Delaloye, qui représentait mercredi Me Harari. Evaporé, volatilisé. La première enquête, interne, ne porte pas sur les faits de 1998, mais uniquement sur leur communication. Ajoutant perfidement: «Il y a deux versions complètement différentes dans cette affaire, je crois qu’il y a un conflit de personnes. Charles Morerod n'était pas au courant de la gravité des abus sexuels reprochés à l'abbé Paul Frochaux. L’homme avait été choisi pour remplacer un certain abbé Frochaux, démissionné pour abus sexuel sur mineur le mois dernier. Tous les ecclésiastiques que nous avons contactés sont aux abonnés absents. Je ne l’ai pas connu comme ça! Suspendu en février dernier, l’abbé Frochaux a donné sa démission en mai. Son successeur à la tête de la cathédrale de Fribourg avait été choisi. Son successeur à la tête de la cathédrale de Fribourg avait été choisi. Église Le curé de la cathédrale de Fribourg Paul Frochaux a remis sa démission à l’évêque de Lausanne, Genève et Fribourg, qui l’a acceptée. Après quelques apparitions médiatiques assez calamiteuses, le chanoine de 68 ans se terre. Suspendu en février dernier, l’abbé Frochaux a donné sa démission en mai. Suspendu en février dernier, l'abbé Frochaux a donné sa démission en mai. A noter qu’une troisième enquête est encore en cours auprès de la justice pénale vaudoise au sujet de l’affaire de Torgon. Mais le diocèse a annulé en catastrophe sa nomination suite à une enquête de l’Illustré, qui a dévoilé mercredi la double vie de l’ecclésiastique, actif notamment sur des sites de rencontres homosexuelles. par frb. «Tout ce qui est dans sa lettre est surréaliste! *Le successeur de l’abbé Frochaux, lui-même accusé d’abus sexuel sur un mineur, accumulait les conquêtes sur internet. Selon Me Harari, et contrairement aux dires de l’accusateur, il ne régnait pas d’ambiance «homo-érotique» dans la cure vaudoise. L’homme avait été choisi après la démission de l’abbé Frochaux accusé d’abus sexuel sur mineur le mois dernier. Il va même plus loin: Mgr Morerod faire lire à tous les curés de Fribourg, ainsi qu’en attestent de nombreux paroissiens, lors de la messe du dimanche, un texte rédigé par ses soins défendant bec et ongles l’abbé Frochaux! Son successeur à la tête de la cathédrale de Fribourg avait été choisi. Rattrapé par son passé, soupçonné d’abus sexuels – qu’il reconnaît –, il est aujourd’hui suspendu. Cet homme de foi courageux est désormais de retour en terres fribourgeoises. C’est peine perdue de chercher cette figure très respectée de l’Eglise à la cathédrale Saint-Nicolas de Fribourg, où il régnait en maître il y a quelques jours encore. On y raconte son histoire, qui ressemble furieusement à celle que traverse aujourd’hui l’abbé Nicodème Mekongo. Rattrapé par son passé, soupçonné d’abus sexuels – qu’il reconnaît –, il est aujourd’hui suspendu. Il nie en bloc toutes les accusations: «faux et archifaux», «affabulation totale», «surréaliste», «ahurissant», «pure diffamation» avant de porter, croit-il, le coup de grâce: «Lisez La Liberté et vous verrez qui est Nicodème Mekongo. Mgr Morerod a lui-même été mis au courant à trois reprises de l’affaire, mais «sans indication sur l’éventuelle gravité des faits», a affirmé Cédric Chanez. Mais le diocèse a annulé en catastrophe sa nomination suite à une enquête de l’ Illustré , qui a dévoilé mercredi la double vie de l’ecclésiastique, actif notamment sur des sites de rencontres homosexuelles. La cathédrale de Fribourg doit se trouver un nouveau curé. A Fribourg, l’abbé Frochaux, c’était quelqu’un. Mgr Morerod a insisté sur la nécessité de distinguer les affaires de pédophilie ou d’abus sexuels, pour lesquels il mène une politique de tolérance zéro, et la question du célibat des prêtres. La grenade est dégoupillée dans le Tages-Anzeiger: l’abbé Nicodème Mekongo, curé de Peseux, d’origine africaine, accuse son homologue de l’avoir harcelé sexuellement entre 2008 et 2011 à Vevey (VD). Me Maurice Hariri, l’homme providentiel, connu pour avoir notamment agi dans le dossier Alfred Sirven, est inatteignable lui aussi. Le successeur de l’abbé Frochaux, lui-même accusé d’abus sexuel sur un mineur, accumulait les conquêtes sur internet. L'abbé Philippe Blanc est le nouveau curé de la cathédrale St-Nicolas de Fribourg. «Je suis désolé, je ne peux pas vous parler, répond l’abbé Nicodème Mekongo, l’évêque nous a demandé de garder le silence jusqu’aux conclusions de l’enquête indépendante.» Une enquête diligentée auprès d’un avocat «indépendant» à Genève, «non catholique», a-t-on tenu à rassurer via un communiqué, mais tout de même payé par l’évêché. Suspendu en février dernier, l’abbé Frochaux a donné sa démission en mai. Son successeur à la tête de la cathédrale de Fribourg avait été choisi. J’affirme que c’est l’unique défaillance que j’ai eue au cours de quarante années de séminaire et de sacerdoce.». Il sait que l’épidémie est mondiale. Suspendu en février dernier, l'abbé Frochaux a donné sa démission en mai. A l’époque, ces faits ont été rapportés comme «un paternalisme un peu trop appuyé» et sans précisions sur l’âge de la victime, a expliqué mercredi le responsable de l’enquête, Cédric Chanez, devant la presse à Fribourg. «Aussi longtemps que nous cherchons à protéger d’abord notre institution, nous passons à côté de notre devoir», dit-il d’entrée, presque en forme d’aveu. Il ne semble plus croire vraiment à son retour, il se plaint, en veut à tout le monde, mais vous savez, avec lui ce n’est jamais de sa faute, c’est toujours celle des autres. Il n’y eut alors aucune sanction: en 2012, le nouvel évêque du diocèse, Mgr Morerod, nommait Paul Frochaux à la cathédrale de Fribourg et le confirmait à son poste de coresponsable de la formation sacerdotale, où il continuera à travailler avec de jeunes séminaristes…. Suspendu en février dernier, l'abbé Frochaux a donné sa démission en mai. On le dit aujourd’hui le moral au plus bas, déboussolé, perdu, marchant peut-être lui aussi «comme un mort-vivant», à l’image de Gabriel Matzneff, l’écrivain français pédophile déchu de son trône, planqué quelque part sur la côte ligure. De son côté, Mgr Morerod a répété que l’affaire lui avait été présentée de manière «fortement atténuée.» Il a toutefois reconnu que ces faits «apparaissaient sous une autre lumière après coup.» Et d’assurer que son diocèse était beaucoup plus attentif aujourd’hui en étudiant «systématiquement» tous les dossiers. https://www.letemps.ch/suisse/michel-grandjean-mariage-pretres-ne-resoudra Au début de la tempête, l’abbé Frochaux pense encore qu’il va s’en sortir grâce à ses innombrables et puissants relais. Charles Morerod n’a plus d’autre choix que de le suspendre et de l’éloigner de la cathédrale de Fribourg le 4 février. Mgr Morerod a-t-il agi par naïveté, croyant sur parole ses amis Frochaux et de Raemy, dont il est lui aussi très proche? Une rencontre acceptée de longue date. D’une manière ou d’une autre, il y a un harcèlement mais je ne sais pas dans quel sens il s’exerce.». Depuis maintenant près de trois semaines, l’abbé Paul Frochaux a disparu. Suspendu en février dernier, l’abbé Frochaux a donné sa démission en mai. Mais le diocèse a annulé en catastrophe sa nomination suite à une enquête de l'Illustré, qui a dévoilé mercredi la double vie de … Mgr Morerod annonçait en outre l’ouverture d’une «enquête, interne, sur la non-transmission d’informations, le manque de discernement et la disparition de documents.». Mais le diocèse a annulé en catastrophe sa nomination suite à une enquête de l'Illustré, qui a dévoilé mercredi la double vie de l'ecclésiastique, actif notamment sur des sites de rencontres homosexuelles. «Mgr Morerod a pris un gros coup sur la tête avec toute cette histoire, dit Jean-Marie Fürbringer, vice-président de la Sapec, il s’est rendu compte que des gens qu’il avait tendance à croire sur parole n’étaient pas aussi propres qu’ils en avaient l’air.» «L’évêque a perdu la main, à moins qu’il n’ait carrément perdu pied», ira même jusqu’à écrire le rédacteur en chef de La Liberté, Serge Gumy.Pour cet évêque résolument original au franc-parler un peu bizarroïde, que beaucoup d’observateurs voyaient devenir un jour cardinal, tout paraît cependant loin d’être réglé. Son successeur à la tête de la cathédrale de Fribourg avait été choisi. Il en fait le récit détaillé dans une longue lettre de 15 pages, adressée à l’évêque Charles Morerod le 29 octobre 2019. «Paul est dans le déni, pour lui c’est une machination, témoigne l’un de ses amis. Suspendu en février dernier, l'abbé Frochaux a donné sa démission en mai. Jusqu’à tout récemment, je lui faisais entièrement confiance […] Il est certain que cette personne ne peut pas continuer à exercer son ministère.», Trois mois après avoir été mis au courant par la fameuse lettre de 15 pages que l’évêque a refusé de prendre au sérieux, le coup de grâce est définitivement donné. Son successeur à la tête de la cathédrale de Fribourg avait été choisi. Sur sa page Facebook, Frochaux est aux anges: «Le vent médiatique a bien tourné», se réjouit-il. Cherchez l’erreur!». Une enquête interne disculpe l'évêque du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg. Son successeur à la tête de la cathédrale de Fribourg avait été choisi. Successeur à la tête d'une cathédrale d'un curé accusé d’abus sexuel sur un mineur, il accumulait les conquêtes sur Internet. Les scandales s’enchaînent à l’Evêché de Lausanne, Genève et Fribourg (LGF). Puis, «la pression allant s’amplifiant, il a décidé de reprendre des études dans la communication à Rome, avec la bénédiction de l’évêque. D’autres révélations tombent le 3 février. Inscrivez-vous et recevez les newsletters de votre choix. Hasard du calendrier, le 12 février, Mgr Morerod doit s’exprimer à Lausanne devant les membres de la Sapec (association de soutien aux personnes abusées dans une relation d’autorité religieuse). La responsable diocésaine de la communication a confirmé… Mais l’affaire, d’abord raillée par l’évêque Charles Morerod, est un séisme qui semble bien faire apparaître au grand jour l’existence d’un véritable réseau gay au sein de l’Eglise catholique en Suisse romande. Il m’accuse de harcèlement sexuel et finalement reconnaît devant la police vaudoise qu’il n’y a pas eu d’actes sexuels dans la cure de Vevey. Suspendu en février dernier, l’abbé Frochaux a donné sa démission en mai. Avant de se retrouver avec son membre dans la bouche de l’abbé. Ce n’est pas agréable mais nécessaire», a-t-il déclaré. Dans une société civile, chacun vit sa sexualité comme il l’entend, avec qui il veut, mais dans l’Eglise, les prêtres font vœu d’abstinence et doivent s’affranchir de leurs passions et de leurs pulsions pour pouvoir librement aimer Dieu. Lire aussi: Lancement d'un grand appel à témoins sur les abus sexuels dans l'Eglise en France. En avril 2018, François avait même dû faire publiquement des excuses: il reconnaissait de «graves erreurs d’appréciation» dans ce scandale qui secouait l’Eglise chilienne, dénonçant déjà la «culture d’abus et le système qui avait permis de couvrir» ces agissements…. L’abbé était suspendu depuis février en raison d’accusations de harcèlement et d’abus sexuels. Aujourd’hui âgé de 39 ans, professeur d’université en France, il raconte que le prêtre l’embrassa sur la bouche et toucha son sexe. Cette stratégie du simple conflit entre deux personnes va faire long feu. A Fribourg, l’abbé Frochaux, c’était quelqu’un. Suspendu en février dernier, l'abbé Frochaux a donné sa démission en mai.
2020 abbé frochaux successeur